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rLe planning familial R et M se mobilise pour soutenir la Communauté LGBTQIA+

 

  • C’est quoi ? C’est une offre d’accueil et d’écoute, tant en présentiel que de manière interactive via les outils médias tels que le téléphone, messenger, wathsApp, FB, Insta.
  • Ici en bas à droite tu as un bouton messenger pour entrer en contact avec nous.
  • Il s’agit tant d’une aide virtuelle par le biais de notre site internet  permettant à toi jeune , peut-être isolé.e.s, de poser tes questions sur le genre et/ou la sexualité à des professionnels de ta Région ou de « chatter » pour avoir une écoute et un soutien . Si tu le veux, tu peux aussi bénéficier d’un accueil physique ciblé sur les jeunes de la Communauté LGBTQI+ en Basse-Meuse et Vallée du Geer . En effet, les professionnels répondant au Chat sont ensuite disposés à te rencontrer dans le réel si tu le désires.
  • Pour qui ? Le public LGBTQIA+ ou friendly, de jeunes de moins de 25 ans en Basse-Meuse et Vallée –du-Geer.
  • Cela fait référence soit à l’orientation sexuelle, à l’identité de genre, à l’expression de genre ou encore à une réalité physiologique.

    La cible est la population jeune en question ou en recherche de repères sur ces questions.

Pourquoi parler de désert  ?

La Basse-Meuse et la Valle du Geer, Ville à la campagne et chapelets de petits Villages  fonctionnent sur le modèle Rurale loin du fonctionnement ouvert et moderne, accueillante et tolérante des Villes. Dans ces espaces périphériques (banlieue, périurbain, campagne) et des populations plus traditionnelles ou moins favorisées, on observe plus hostilité envers les gays, qu’il s’agisse d’ailleurs des banlieues homophobes ou des campagnes réactionnaires…

Dans ce contexte, les plus jeunes semblent être ceux qui regrettent le plus l’absence d’une offre de lieux gays plus importante et qui soulignent le plus souvent la difficulté de faire des rencontres ou de trouver de l’aide.

D’ailleurs, dans sa thèse, « La vie homosexuelle à l’écart de la visibilité urbaine »,un chercheur , Colin Giraud parle de cette gêne que peuvent ressentir les personnes LGBTQIA qui ont grandi en milieu rural. Une gêne à s’exposer, à montrer des signes d’affections, à s’afficher aussi.

Face à cette absence d’offre d’aide à la communauté LGBTQIA+, on peut alors parler de désert gay. 

Pourquoi L’Oasis ?

Et bien dans ce désert Gay, Ou désert LGBT, tu auras peut-être besoin d’une oasis où tu pourras faire halte sans peur du jugement pour parler, t’ouvrir ou poser tes questions.